mardi 28 février 2012

Devedjian en affinité avec Rama Yade à Colombes

A Asnières et Colombes-SudLa rivalité entre Rama Yade, membre du Parti radical présidé par Jean-Louis Borloo, et le sortant UMP, Manuel Aeschliman, prend une drôle de tournure. Surtout quand l’ex-secrétaire d’Etat aux Sports inaugure sa permanence et que le président UMP du conseil général fait le déplacement… tout comme le sénateur-maire de Meudon, Hervé Marseille, président du groupe UMP-Nouveau Centre au conseil général jusqu’en septembre dernier. A ces déplacements, Jean-Jacques Guillet ne voit rien de condamnable : « Patrick Devedjian a dit s’être déplacé à cette inauguration pour supporter tous ceux qui soutiennent le président de la République et qu’il apportera son appui à tous les candidats investis par l’UMP. »


Source Le Parisien du 24 février 2012



Franchement Je trouve absolument regrettable que Monsieur DEVEDJIAN  est allé à l’inauguration  de la permanence et de soutenir Rama Yade  alors  que sa place était  de soutenir les candidats de la 2e circonscription Manuel AESCHLIMANN et Nicole GOUETA à la limite même les candidats  de la 1ere circonscription !

 Monsieur DEVEDJIAN serait il devenu amnésique au point d’avoir  oublié que Rama Yade  nous a fait perdre notre ville,  a brillée  par son absence à plusieurs reprises au Conseil Municipal,  ses mensonges concernant son logement sur Colombes alors que celle-ci habite Paris, comment Monsieur DEVEDJIAN a-t-il pu en arrivé là ?  

Une chose est certaine, c’est que du temps de Monsieur Ch. PASQUA et de Monsieur N. SARKOZY ceux –ci savaient tenir leur troupe, alors que Monsieur DEVEDJIAN en est loin, Qu’il continue ainsi et  il va arriver  à faire exploser l’UMP.

Bravo Monsieur DEVEDJIAN !
Dumi
Colombes le 24 février 2012

Rama Yade a été entendue par la police sur son inscription électorale - LeMonde.fr

Rama Yade, la capricieuse, croit toujours en son destin



Le lendemain de la perte du triple A français, samedi 14 janvier, Rama Yade avait rendez-vous à l'Elysée. Elle n'avait pas vu le président depuis qu'il l'avait nommée ambassadrice de France auprès de l'Unesco, en guise de punition dorée après son éviction du gouvernement en novembre 2010. Il n'a jamais vraiment digéré son refus de se présenter aux élections européennes de 2009, qu'elle avait eu l'arrogance de considérer comme un "exil". Elle lui avait offert peu après des chocolats en forme de coeur mais, reconnaît-elle, "ça n'avait pas marché".

Cinq ans plus tôt exactement, le 14 janvier 2007, la jeune UMP de 30 ans qui allait devenir la coqueluche des sondages de popularité faisait une prestation remarquée à la porte de Versailles, avant le fameux discours d'investiture d'un Sarkozy disciple de Blum et de Jaurès. Le lendemain, le Landerneau politique jasait sur cette belle inconnue à la peau noire et à l'aplomb incroyable.


Le président en bout de mandat et en queue de sondages en est cette fois à un petit pour cent près. Il a reçu ces jours-ci un tas de proches de François Bayrou. Tous les soutiens sont bons à prendre et celui de Rama Yade n'est pas des moindres. Certes, elle n'est plus au faîte de sa gloire mais elle reste inexorablement l'une des personnalités préférées des Français. Sa capacité à s'attirer l'attention des médias intimide. Elle est un emblème pour les jeunes immigrés. Une femme de droite que la gauche aurait adoré avoir.


Celle qui peut rapporter en voix a un autre mérite : elle est orpheline de candidat. Elle a rejoint le Parti radical et a été abandonnée par son président Jean-Louis Borloo qui a renoncé à se présenter à l'élection présidentielle. Elle a récemment fait part de sa tentation de soutenir François Bayrou. Celui-ci nous dit ne l'avoir "jamais rencontrée", mais la trouver "sympathique" et, on l'aurait deviné, "comprendre qu'elle se tourne vers (lui)".

Pour Nicolas Sarkozy, il était donc temps de recevoir Rama Yade. Ces deux-là ne sont pas le contraire l'un de l'autre : ambitieux, orgueilleux, capricieux, parés d'un franc-parler et de tous les culots, fiers d'eux-mêmes et de s'être repérés l'un l'autre - lui qui l'a lancée et construite, elle qui se sent adoptée par lui. "Je ferais comme toi !", lui avait-il avoué lorsqu'elle le harcelait sans relâche pour obtenir une place dans le deuxième gouvernement Fillon. Il la tutoie, elle le vouvoie toujours, comme un rappel qu'il l'a vue grandir.

Ce 14 janvier 2012, le président qui n'est pas candidat déclaré lui a demandé, dit-elle, de participer à sa campagne et de le soutenir. La jeune femme lui a répondu qu'elle attendait le congrès des radicaux de mars où sera tranché leur soutien collectif. "On m'a assez dit que je jouais perso !", lui a-t-elle lancé. Elle a souligné l'ambiguïté de son statut à Colombes (Hauts-de-Seine) : elle se présentera aux législatives de 2012 face à son ennemi Manuel Aeschlimann, investi par l'UMP. Elle : "Cela pose un problème de cohérence." Lui : "Tu me parles de Colombes, je te parle de la France !"

Mais c'est pourtant Colombes qui obsède Rama Yade. La ville de son enfance, celle où elle a immigré du Sénégal et vécu en HLM avec sa mère et ses trois soeurs. La ville "chère à son coeur", comme elle dit souvent, ce qui a le don d'exaspérer son adversaire, le maire socialiste Philippe Sarre : "du cinéma ! " Elle sait que seule une légitimation par les urnes lui permettra d'aller plus loin. Conseillère régionale d'Ile-de-France, élue municipale à Colombes, elle veut arracher la circonscription à Manuel Aeschlimann. Et la mairie à Philippe Sarre.

Sa campagne commence mal. Rama Yade, déjà empêtrée dans une affaire de plagiat, s'est emmêlé les pieds dans une histoire de domiciliation montée en scandale par ses adversaires. Abordez le sujet de son appartement de Colombes, la jeune femme perd d'un coup le calme et les rires enfantins qui font son charme. Elle fouille dans son sac à la recherche d'une cigarette, la prend, la repose, tapote la table... "Je ne vais pas m'abaisser à leur niveau, s'énerve-t-elle. Ces gens-là ont peur de moi et n'existent que parce qu'ils parlent de moi !" Mais le mal est fait : un buzz d'enfer sur Internet.

Tout a commencé au conseil municipal d'octobre 2011. L'insolente Rama pontifie, ironise, dénigre. Elle provoque le maire qui, excédé, sort son joker : "Ça suffit, vos balivernes, vos insultes et votre superficialité ! (...) Vous n'habitez pas à Colombes ! (...) Vous êtes passible d'être rayée des listes électorales. Vous pourriez apporter les preuves de votre domicile, ce serait mieux." La suite, politisée à souhait et ennuyeuse à résumer, aboutit à une audience au tribunal et à une visite médiatisée de l'appartement colombien de Rama Yade... vide de tout meuble et inhabitable. "Un dégât des eaux a retardé mon emménagement", plaide la locataire. Ses explications ne convainquent pas. La juge tranche en sa défaveur : Mme Yade ne peut prouver sa domiciliation à Colombes. Elle est radiée des listes électorales dans sa ville.

On n'en est pas au générique de fin. Rama Yade est du genre que l'adversité galvanise, à l'instar du président qui lui a tant appris. "Ne pas pouvoir voter à Colombes ne m'empêchera pas de m'y faire élire !", prévient-elle. Elle s'emporte : "Moi, la capricieuse qui ai refusé d'aller au Parlement européen, j'ai toujours voulu rester à Colombes. On devrait plutôt me féliciter, quand tant d'autres sont parachutés !"

Avoir snobé les Européennes fait partie de ces griffures qui vous abîment un CV. Ce dédain affiché envers le Parlement européen a donné un argument à ceux, dans la majorité, que commençait à horripiler son omniprésence médiatique. Sur l'Europe, Rama Yade rappelle pourtant sa cohérence : elle avait, comme François Fillon, voté non au référendum de 2005. Elle révèle qu'après la proposition du président elle avait consulté deux grands sages lesquels l'avaient, dit-elle, "dissuadée d'aller à Bruxelles".

Valéry Giscard d'Estaing avait reçu la secrétaire aux droits de l'homme dans son hôtel particulier parisien, sous l'oeil protecteur d'un majordome aux gants blancs. Jacques Delors s'était déplacé jusqu'au Quai d'Orsay. "Delors m'a dit que quand on est parti, c'est difficile de revenir. Il m'a raconté qu'à son retour de la Commission, tout le monde à Paris l'avait oublié et qu'il n'avait même pas de bureau. Giscard m'a dit qu'on ne me confierait pas de dossier intéressant." L'un et l'autre ont confirmé ces propos au Monde, à quelques nuances près.

A l'UMP, ça grince. Fin 2007, le téméraire coup d'éclat de Rama Yade contre la venue à Paris de Mouammar Kadhafi lui vaut plus qu'une petite colère du président : de féroces jalousies, chez ses camarades, pour la gloire qu'elle en tire dans l'opinion. On ironise sur "la princesse", "l'enfant gâtée", grisée d'elle-même et qui a tout eu : belle, hautement diplômée, propulsée sans transition dans la hiérarchie de l'UMP, chouchoutée par Sarkozy parce que symbole des minorités visibles. A l'époque, Roselyne Bachelot se lâche : "Heureusement qu'elle n'est pas en plus lesbienne et handicapée, elle serait premier ministre !"

"Elle a mal géré sa notoriété, nous dit Isabelle Balkany, élue de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) et proche de Nicolas Sarkozy. Elle a joué les médias en se démarquant, elle a vu que la posture d'opposition lui réussissait. Mais elle propose quoi ? C'est comme un jeune chanteur : il sort un tube, il est célèbre, mais ça peut s'arrêter là." "Rama est en recherche, rétorque son nouveau mentor, Jean-Louis Borloo. Sous son air docte elle a l'inquiétude de comprendre la société, avec une vraie exigence républicaine". Le radical Dominique Paillé renchérit : "Deux femmes ont vocation à se trouver un jour à la tête du pays : Nathalie Kosciusko-Morizet et Rama Yade."

Musulmane pratiquante, laïque et républicaine, celle que le président avait brandie comme un symbole voudrait maintenant sortir de son propre emblème. Voir plus grand, viser large, bref, se faire élire. "Si je me suis distinguée dans le gouvernement, dit-elle, c'était pour qu'on ne me dise pas : "Sois diverse et tais-toi." Je veux travailler pour les minorités visibles comme invisibles, pour les petits blancs qu'on ne voit pas au JT de TF1. Comme l'a dit Condi Rice, je serai fière quand je serai un modèle pour les vieux hommes blancs."

Source : Le Monde        Marion Van Renterghem

La situation de Rama Yade devient épineuse






La situation de devient épineuse. Radiée des listes électorales de Colombes, l’ex-secrétaire d’Etat aux Droits de l’homme pourrait comparaître devant le tribunal correctionnel de Nanterre pour avoir triché sur sa domiciliation. L’enquête ouverte par le parquet de Nanterre en décembre, visant à vérifier si Rama Yade habite ou non à Colombes, est en passe de s’achever avec l’audition de l’élue.
Les policiers de la brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) devaient l’entendre en ce début de semaine. Et rien ne permet d’imaginer qu’elle pourrait convaincre les enquêteurs de ce service de la police judiciaire parisienne qu’elle vit à Colombes. Dès lors, si l’enquête confirme qu’elle n’a pas de domicile réel dans la commune, le parquet de Nanterre devrait la poursuivre pour fraude électorale. Voire pour faux et usage de faux si elle a trafiqué son bail. Elle encourrait alors un an d’emprisonnement et 15000 € d’amende.

Après sa radiation des listes de Colombes, Rama Yade avait saisi le tribunal d’instance en espérant voir la décision de la commission des listes de Colombes revue. C’est complètement raté. Le tribunal a jugé, le 23 janvier, que « la preuve du domicile réel sur la commune » n’est pas acquise. En effet, le
était « vide de tout meuble, document ou élément personnel ». La juge l’avait constaté elle-même en ordonnant une visite de l’appartement de la rue Colbert, où Rama Yade est censée habiter. De plus, en produisant deux exemplaires différents de son bail, la conseillère municipale d’opposition (Parti radical) laisse à penser qu’un des documents a été modifié. Voilà pourquoi elle pourrait avoir à répondre de faux.

Preuve que Rama Yade se sait dans l’impasse : elle n’a pas saisi la Cour de cassation d’un pourvoi, seul recours possible après le jugement du tribunal d’instance. Pourtant, l’ex-favorite de
s’est laissé le temps de la réflexion. Elle ne s’est pas présentée au tribunal le jour où il rendait son jugement, le 23 janvier. Celui-ci lui a donc été envoyé en recommandé, ce qui a allongé le délai de recours.

Cependant, Rama Yade n’a jamais récupéré ce courrier recommandé. Résultat : aujourd’hui, le délai a expiré. La seule issue pour celle qui est aujourd’hui « sans domicile fixe » électoral, mais qui brigue la 2e circonscription (Asnières-Colombes-Sud) aux prochaines législatives, est de se faire inscrire dans le XVIIIe arrondissement de Paris, où elle demeure. Elle aurait donc saisi le tribunal d’instance de son arrondissement pour obtenir cette inscription, à moins de deux mois de la présidentielle. Si elle n’obtenait pas son inscription dans le XVIIIe, l’ex-secrétaire ne pourrait pas voter en avril et encore moins se présenter aux législatives. Rama Yade n’a pas répondu à nos sollicitations.
Le Parisien

samedi 25 février 2012

ON NE VOUS DIT PAS TOUT !




Restaurant "Laurent"

41, avenue Gabriel
75008 Paris
01 42 25 00 39

IL N'EST TOUT DE MEME PAS INUTILE DE LE SAVOIR ...
Que les journalistes soient au service de la gauche n'est plus à démontrer.

Il n'y a qu'à entendre quotidiennement la "curée" continuelle sur Sarkozy par la meute des chiens .. parfois c'est insoutenable
Le "LAURENT", c'est autre chose que le FOUQUET'S à tous points de vue ... Qualité et surtout..... prix ! en bref, un Restaurant de haute gastronomie

Une info passée sous silence par les médias, c'est la qu'on voit l'impartialité des journalistes en FRANCE !

HOLLANDE LE CACHOTIER
"François Hollande et Bernard Henri-Lévy se sont retrouvés cette semaine pour un déjeuner en tête à tête au très bling-bling Restaurant Laurent. Selon Le Parisien, c'est Pierre Bergé qui aurait réuni les deux hommes afin de "réchauffer" leur relation. On se souvient que le philosophe était proche de Ségolène Royal lors de la dernière élection présidentielle.
L’occasion sans doute d’évoquer ce brave « peuple de gauche » à l’une des tables les plus chères de Paris, et qui sait peut-être « ré-enchanter le rêve français » autour de la célèbre entrée « Truffes noires et salade de mâche, toasts "melba" » du chef… pour la modique somme de 140 euros.
François Hollande l’assure : il « n’aime pas les riches ». Pas de quoi l’empêcher d’organiser ses mondanités dans l’un des restaurants les plus chics… et les plus chers de la capitale. Si la rencontre devait permettre au candidat social iste de reconquérir le cœur d’un BHL emballé par la fougue guerrière de Nicolas Sarkozy, elle aura surtout mis en évidence un certain éloignement de François Hollande avec le quotidien des Français.

Car quelle cohérence peut-on trouver à un politicien qui prononce le dimanche un discours enflammé contre « l’empire de la finance » et une société pervertie par l’argent-roi… et qui déjeune le mardi dans un quatre étoiles parisien (aux prix ridiculement élevés) avec l’un des représentants les plus emblématiques de l’intelligentsia germanopratine ?
Mais que peut bien penser le peuple de gauche à la lecture du menu du restaurant Laurent ? Les « Truffes noires et salade de mâche, toasts "melba" » à 140 euros ne constituent en effet qu’une entrée. François Hollande et BHL ont ensuite pu déguster un petit carré d’agneau pour 92 euros avant de terminer sur une note sucrée avec un ananas rôti pour la bagatelle de 30 euros. On n'ose imaginer les prix figurant sur la carte des vins...

Si vous êtes surpris du silence des medias sur ce déjeuner de riches, si vous avez l’impression que les journalistes tolèrent très bien les débauches d’argent quand elles sont à gauche, et si vous êtes offusqué de la façon dont le repas au Fouquet’s de Nicolas Sarkozy a été monté en mayonnaise, mais celui de François Hollande occulté.

Le candidat Hollande vient de démontrer qu'il peut compter sur la servilité des journalistes pour couvrir ses moindres excès."

COUP DE GUEULE

Anne Marie

COUP DE GUEULE
 A lire jusqu'à la fin et bravo madame et merci à vous d'avoir le courage de le dire sans vous cacher.
<><><><><>  Et on nous dit que le taux de chômage augmente en France ???????????? <><><> <>
                                 Voir ci-dessous. Effarant !!!!!!!!!!!
<><><><><>  <><><> COUP DE GUEULE D'UN AGENT DE LA P A F :(Police de l’Air et des Frontières)            Chers tous, une fois n'est pas coutume : un coup de gueule...
Comme vous le savez, mon métier m'amène désormais à filtrer ce qui entre dans notre cher pays, du moins ce qui arrive par les airs dans la région Rhône-Alpes.
Depuis une quinzaine de jours j'assiste à ceci:(je vous laisse juge) - Vol en provenance d'Istanbul : 96 turcs avec chacun un visa en règle sur le passeport et contrat de 5 mois de travail signé par un représentant du groupe ACCOR, 1438,80 € brut par mois - spécialité : cuisiniers -nourris -logés blanchis - lieu de travail : Megève - Courchevel - les Arcs - Vol aller/retour payé par l'employeur.
- Vol en provenance de Djerba : 92 tunisiens avec chacun un visa en règle sur le passeport et contrat de 5 mois de travail signés par une représentante du groupe CLUB MED, 1477,99 € brut par mois - spécialité : cuisinier ou serveur - nourris logés blanchis - lieu de travail : les 2 Alpes - Méribel -les Ménuires- la Plagne - Vol aller/retour payé par l'employeur.
Et enfin la crème :
- Vol en provenance de Casablanca : 128 marocains avec chacun un visa en règle sur le passeport et contrat de 5 mois de travail signé par une représentante du groupe CLUB MED, de 1477,99 € à 1530,47 € brut par mois - spécialité : cuisinier ou serveur - nourris logés blanchis - lieu de travail : les 2 Alpes - Avoriaz - Chamonix - Tignes - Vol aller/retour payé par l'employeur.
La moyenne d'âge varie entre 25 et 50 ans (je dirais que 80% d'entre eux ont plus de 40 ans), la totalité ne parle quasi pas un mot de français mais ont tous le même sourire de "faux-cul" rivé sur la face au moment du contrôle (surtout dans le vol n°3) avec des "merci chef" ou "merci bocou missiou" qui puent la franchise de l'âne qui recule... BREF...
- Tout ça pour dire qu'au lieu d'embaucher des locaux, il est plus rentable, pour ces groupes hôteliers, d'aller chercher ces types qui n'hésitent pas une seconde à mettre 5 mois de leur existence entre parenthèses chaque année (car ça fait longtemps que ça dure apparemment) pour s'expatrier dans un pays dont ils ne pratiquent pas la langue et trimer en cuisine pour un peu plus de 1000 € par mois. Faut dire qu'avec les 5000 € qu'ils empochent et qu'ils ramènent au bled, ils font vivre leurs familles pendant bien plus longtemps et font construire des villas car, bien évidemment, ce ne sont pas ces gens-là qui vont faire marcher le commerce en dépensant leurs économies en France... (Comme quoi ces dirigeants ont tout compris chez nous...) Mais ce qui me déglingue encore un peu plus, c'est que la quasi totalité d'entre eux (toutes provenances confondues) sont musulmans, probablement pratiquants vu les âges et ils viennent bosser dans la restauration, qui plus est en montagne... et qu'est-ce qu'on mange le plus souvent en montagne l'hiver ? Ben des diots, des raclettes, des tartiflettes, des fondues avec l'assiette de charcuterie qui va bien avec... bref du PORC !!! Alors ils en font quoi de leur religion et des ses putains de principes quand ils doivent trancher et disposer le jambon, le saucisson, le lard et le reste dans les plats et sur les assiettes hein ???!!!!! Ce n'est pas du "halal" là !!!!!! Pour 5000 €, il n'y a plus d'Allah et de volonté divine ???
Chapeau la bouffe traditionnelle montagnarde française... "préparée par des cuistots du pays... avec amour et savoir-faire ancestral..." et ben non !!! Alors voilà : je vous invite à faire passer le mot mais surtout à BOYCOTTER ces groupes hôteliers "aux pieds des pistes" pour privilégier les petits chalets ou les chambres d'hôtes, les restaurants "bien de chez nous", ce qui souvent, revient moins cher pour le séjour une fois tout ajouté.
MERCI DE M'AVOIR LU JUSQU'AU BOUT.
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Discours de soutien de Patrick Devedjian à Rama Yade







Remous à L’UMP
A Asnières et Colombes-Sud
La rivalité entre Rama Yade, membre du Parti radical présidé par Jean-Louis
Borloo, et le sortant UMP, Manuel Aeschliman, prend une drôle de tournure.
Surtout quand l’ex-secrétaire d’Etat aux Sports inaugure sa permanence et que le président UMP du conseil général fait le déplacement… tout comme le sénateur-maire de Meudon, Hervé Marseille, président du groupe UMP-Nouveau
Centre au conseil général jusqu’en septembre dernier. A ces déplacements,
Jean-Jacques Guillet ne voit rien de condamnable : « Patrick Devedjian a dit s’être déplacé à cette inauguration pour supporter tous ceux qui soutiennent le président de la République et qu’il apportera son appui à tous les candidats
investis par l’UMP. »
Source Le Parisien du 24 février 2012

Mon commentaire

Franchement Je trouve absolument regrettable que Monsieur DEVEDJIAN est allé à l’inauguration de la permanence et
de soutenir Rama Yade alors que sa place était de soutenir les candidats de la 2e circonscription Manuel AESCHLIMANN et Nicole GOUETA à la limite même les candidats de la 1ere
circonscription !

Monsieur DEVEDJIAN serait il devenu amnésique au point d’avoir oublié que Rama Yade nous a fait perdre notre ville, a brillée par son absence à plusieurs reprises au Conseil Municipal, ses mensonges concernant son logement sur
Colombes alors que celle-ci habite Paris.

Comment Monsieur DEVEDJIAN a-t-il pu enarrivé là ?

Une chose est certaine, c’est que du temps de Monsieur Charles  PASQUA et de Monsieur Nicolas SARKOZY , ceux –ci savaient tenir leur troupe, alors que Monsieur DEVEDJIAN en est loin.
Qu’il continue ainsi et il va arriver à faire exploser l’UMP.

Bravo Monsieur DEVEDJIAN !

Dumi
Colombes
le 24 février 2012

vendredi 17 février 2012

Pour votre sortie à Paris

AUX BOUCHES A OREILLES
 Bistro Chic
72 rue Joseph de Maistre
75018 PARIS

Tél : 01 46 27 99 70

Ambiance Jazzy et "Live" une fois par semaine








A ne pas rater ...


Un ancien Colombien a ouvert son restaurant à Paris  dans le 18è.


Très bonne cuisine et cadre chic ! Vous ne serez pas déçus !
Rapport - Qualité prix excellent !


Quand la cage est ouverte, l'oiseau est mort !

Une erreur bien importune s'est glissée dans Le Parisien daté de ce jour. François Hollande, le candidat socialiste à l'élection présidentielle apparaît la braguette ouverte. Oups...


Voilà une photo que François Hollande aurait préféré ne pas voir apparaître dans la presse.
Dans un article du Parisien daté du 16 février, un des clichés choisis pour illustrer le papier est pour le moins insolite.
François Hollande pose en toute décontraction... la braguette ouverte !
Au lendemain de l'annonce de la candidature de Nicolas Sarkozy à sa succession, de petits malins très fins observateurs ont donc remarqué que le zip de la braguette de François Hollande n'était pas remonté.
Staragora_blankFrançois Hollande a la braguette ouverte dans Le Parisien
© France 2
Le Parisien

Solennel, les bras croisés, le regard fixe et l'air concentré... La photo aurait pu donner une image très positive du candidat, si sa braguette n'était pas ouverte !
François Hollande a-t-il un emploi du temps tellement surchargé
qu'il en oublie de remonter sa braguette ?
Comme quoi, en politique comme ailleurs, on a beau surveiller de très prés son image, il y a souvent un petit détail qui échappe aux équipes de communication.